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Writers in Paris, by David Burke: Literary Lives in the City of Light (Paperback)
No city has attracted so much literary talent, launched so many illustrious
careers, or produced such a wealth of enduring literature as Paris. From the
15th century through the 20th, poets, novelists, and playwrights, famed for
both their work and their lives, were shaped by this enchanting place. From
natives such as Molière, Genet, and Anaïs Nin to expats like Henry Miller,
Samuel Beckett, and Gertrude Stein, author David Burke follows hundreds of
writers through Paris’ labyrinthine streets, inviting readers on his grand
tour.
Unique in scope and approach, Writers in Paris crosses from the Right
Bank to the Left and on to the Ile de la Cité as it explores the alleyways and
haunts frequented by the world’s most storied writers. Burke focuses not only
on their writing, but on their passions, ecstasies, obsessions, and betrayals.
Equally appealing to Francophiles and serious readers, this engaging book
includes maps and more than 100 evocative photographs.
Depuis
les débuts de la république américaine, Paris suscite un extraordinaire
engouement dans la littérature américaine. Destination presque
inévitable pour
les écrivains et intellectuels, Paris est aux yeux de nombreux
Américains à la
fois un bastion traditionnel de la vieille Europe, un berceau
d’idéologies
révolutionnaires dans l’art et la politique ainsi qu’un endroit où
cultiver une
ouverture à la vie et à l’amour que l’on croyait impossibles chez soi.
Romans,
lettres, mémoires, ou journalisme, les Américains à Paris condensent
trois
siècles d’une littérature vigoureuse, étincelante, passionnée et
puissante à
propos de l’endroit qu’Henry James décrivait comme « la ville la plus
brillante du monde ».
Les
écrivains américains venaient à Paris en tant qu’hommes d’Etat, soldats,
étudiants, touristes et y restaient parfois comme expatriés. Cette
anthologie
va des premières et cruciales impressions de Thomas Jefferson et
Benjamin
Franklin aux réflexions d’écrivains contemporains aussi variés que James
Baldwin, Isadora Duncan ou Jack Kerouac en passant par les énergiques
voyageurs
du XIXème siècle que sont Emerson, Mark Twain et Henry James et les
pèlerins du XXème Gertrude Stein, F. Scott Fitzgerald, E. E. Cummings,
Cole
Porter et Henry Miller. Rejoignez nous alors que Thomas Paine prend
directement
et dangereusement part à la Révolution française; qu'Harriet Beecher
Stowe
visite le Louvre; que Theodore Dreiser goûte aux sensuelles tentations
de la
vie nocturne parisienne; qu'Edith Wharton propose une description
émouvante de
Paris alors qu’éclate la Première Guerre Mondiale; que John Dos Passos
retrace les bouillants rassemblements politiques des années 30; que Paul
Zweig
évoque les plaisirs mêlés du langage et de la sexualité et qu'A. J.
Liebling
savoure les souvenirs de son éducation culinaire de manière
délicieusement
détaillée.
Les Américains à Paris
constituent une mosaïque diverse et constamment engageante,pleine
de fossés culturels et de malentendus
révélateurs, d’innovations personnelles et littéraires, ainsi que de
profonds
moments de découverte de soi.
Note publicitaire de « AMERICANS
IN PARIS, A Literary
Anthology », d’ Adam GOPNIK.
Article traduit de
l’anglais par
Laura Vallet et publié avec la permission de l’édition The Library Of
America, www.loa.org.
Identifiez ces
auteurs américains (dont une cuisinière) qui ont passé du
temps a Paris.
Jacquie: Avez-vous lu le livre de Julia
Childs sur ses années à Paris? Je l'ai lu il y a un an environ, c'était
fascinant - comment le travail, et seulement le travail, a pu rendre ses
recettes les chefs d'oeuvre. C'est comme pour nous les traducteurs, si
on ne
travaille pas, si on ne se met pas en cause constamment, on ne serait
jamais
excellent.
Danielle Bertrand: Quant à Thomas Paine, il n'est pas certain qu'il ait gardé de son
séjour à Paris un excellent souvenir puisqu'il y passa dix mois en
prison.Fait citoyen français en 1792, et député, il ne vota pas "la
mort" pour Louis XVI car il était hostile à la peine de mort (ce en quoi
il était bien en avance sur son temps!). Comme le scrutin était public
cela le rendit suspect , il fut emprisonné sous la Terreur et figure
parmi les "rescapés " de cette période sombre . Probablement déçu par la
france de Napoléon, il regagna les Etats Unis en 1802.
Cette année, la Journée internationale de l’eau a lieu le 22 mars. Dans
un timing presque parfait, The Green Blue
Book: The Simple Water-Savings Guide to Everything in Your Life, le nouveau
livre de Thomas M. Kostigen est sorti le 16 mars dernier (en format poche).
Ce livre contient de nombreux faits surprenant sur la quantité d’eau (appelée « eau virtuelle ») utilisée pour chaque tasse de café que l’on boit ou chaque fruit que l’on mange. Par exemple, 100 litres d’eau sont nécessaires pour faire pousser une banane contre 70 pour une pomme. Ainsi, préférer une pomme à une banane revient à économiser 30 litres d’eau.
L'auteur donne également des astuces sur la façon d'économiser l'eau, afin de nous aider à réduire la demande en aliments et produits gourmands en eau. Ce livre est écrit avec pédagogie et humour. Le texte qui suit est une traduction de l'annonce publicitaire du livre (que l'on peut trouver ici) faite par Laura Vallet.
“Excusez-moi barman,
la bière que vous venez de me servir contient 75 litres d’eau. » On
pourrait croire que vous êtes saoul si vous disiez cela, mais c’est pourtant la
vérité.
L’eau dont on parle
ici est virtuelle. Elle est calculée en faisant le total de l’eau utilisée pour
faire pousser, élever ou construire quelque chose. C’est l’eau que l’on ne voit
pas dans tout ce que nous buvons, mangeons, portons et utilisons dans notre vie
quotidienne. Il s’avère que cette eau-là épuise plus nos réserves que l’eau qui
se trouve sous nos yeux.
La majorité de l’eau
que vous "buvez" est en réalité cachée dans la nourriture que vous
achetez. L’agriculture absorbe environ 70% de toute la consommation d’eau
doucesur la planète. Et nous consommons
la majorité de ce que nous cultivons.
Les choix que nous
faisons en matière de régime alimentaire ont donc un impact considérable sur
les réserves d’eau mondiales. Je ne dis là en aucun cas que vous devez renoncer
à vos mets préférés. Je fais seulement remarquer qu’en choisissant plus
judicieusement ce que nous consommons, nous pouvons réduire la demande de
certain aliments grands consommateurs d’eau et participer à la consolidation de
nos ressources en eau. Par exemple, échangez votre hamburger classique contre
un hamburger végétarien une seule fois et vous sauverez environ 2900 litres
d’eau. De simples gestes par-ci par-là peuvent économiser de grandes quantités
d’eau.
Par ailleurs, ce qui
est bon pour la conservation de l’eau est aussi bon pour d’autres problèmes
écologiques, ainsi qu’économiques. En réduisant notre « empreinte
d’eau », nous réduisons également notre empreinte carbone. Il est donc
important d’apprendre qui, quoi, où et comment un bien est cultivé ou produit.
Maintenant que l’USDA
contraint la plupart des aliments à indiquer leur pays d’origine, il est plus
facile de faire ce choix écologique en choisissant un produit gourmand en eau
qui a été produit dans une région riche en eau, plutôt que qu’une région aride.
Mais consommer
intelligent ce n’est pas seulement être conscient de ce que l’on achète, mais
aussi de ce que l’on gaspille. La moitié des aliments cultivés n’arrive jamais
dans nos assiettes. Maintenant, pensez à toute l’eau utilisée pour récolter,
produire, traiter, transporter et stocker ces aliments. Ajoutez à cela toute la
nourriture que l’on jète (et qui est d’après l’Agence de protection de
l’environnement des Etats-Unis le troisième type le plus commun d’ordures
trouvés dans les déchèteries) et cela fait beaucoup d’eau gaspillée.
Acheter les bons aliments dans les bonnes portions peut réduire notre
consommation d’eau considérablement, sans parler des bénéfices qui
s’ensuivront, à la fois sur notre santé et celle de la planète.
Linguistic aspects of water:
Word History: Water is wet, even etymologically. The Indo-European root of water
is *wed-, "wet." This root could appear in several guises, with the vowel e, as here, or as *wod-,
or with no vowel between the w and d, yielding *ud-. All
three forms of the root appear in English either in native or in borrowed
words. From a form with a long e,*wd-, which by Grimm's Law
became *wt- in Germanic, we have Old
English "wet," which became modern English wet. The form *wod-,
in a suffixed form*wod-r, became *watar in
Germanic and eventually water in modern English. From the form *ud-
the Greeks got their word for water, hud-r, the source of our prefix hydro-
and related words like hydrant. The suffixes *-rand
*-ros added to the form *ud- yielded the Greek word hudr, "water snake" (borrowed into
English as hydra), and the Germanic word *otraz, the source of
our word otter, the water animal.
The American Heritage®
Dictionary of the English Language, Fourth Edition
A fish out of water Someone in a situation they are unsuited to
Blood is thicker than water family bonds are closer than those of outsiders.
To make waves to change an existing situation in a way which causes problems
or upsets people
To throw the baby out with the bath water to get rid of the good parts as well as the bad parts of
something when you are trying to improve it To be wet behind the ears to be immature,
inexperienced
To be in deep water to be in serious
trouble
It is raining cats and dogs Raining very heavily.
Much water ran under bridges A past occurrence, especially something unfortunate, that cannot
be undone or rectified
Still waters run deep Quiet people are often very thoughtful.
Water under a bridge. something that has happened and cannot be changed
You can lead a horse to water but you cannot make him drink You can present someone with an opportunity, but you cannot
force him or her to take advantage of it.
to be in hot water to be in trouble
French proverbs:
Il ne faut pas dire
« Fontaine je ne boirai pas de ton eau.» On ne peut être certain qu'on ne recourra jamais à telle
ou telle chose. Un engagement est toujours incertain car les contextes et notre
vision du monde peuvent varier dans le temps.
Il faut se méfier de l'eau qui dort Il faut se méfier des individus
calmes car ils peuvent s’avérer être les plus dangereux.
Chat échaudé craint l'eau froide. Quand on a déjà été victime d’un
phénomène, on devient plus prudent, voire trop défiant face à un danger du même type.
On ne se baigne jamais deux
fois dans le même fleuve. Les choses sont en perpétuel
changement, ainsi que notre vie intérieure. Comme un fleuve, qui semble
toujours identique mais où l’eau n’est jamais la même, nous changeons, ainsi
que les choses. C’est pourquoi nous ne pouvons vivre deux fois la même chose.
Les lecteurs sont invités à proposer d’autres expressions
ou proverbes.
Message publié par le Secrétaire général des Nations
Uniesà l’occasion de la Journée internationale de l’eau, 22
mars 2010
L’eau est la
source de la vie et le lien qui unit tous les êtres vivants de la planète. Elle
a un rapport direct avec tous les objectifs de l’Organisation des Nations Unies
: amélioration de la santé maternelle et infantile et allongement de
l’espérance de vie, autonomisation des femmes, sécurité alimentaire,
développement durable, atténuation des changements climatiques et adaptation à
ces changements.
C’est pour cette
raison que la décennie 2005-2015 a été proclamée Décennie internationale
d’action sur le thème de « L’eau, source de vie ».
La ressource
vitale qu’est l’eau, qui nous a si longtemps paru inépuisable, est aujourd’hui
de plus en plus menacée et compromise. La compétition est de plus en plus vive
entre une population mondiale qui ne cesse de croître et a besoin de toujours
plus d’eau, de matières premières et d’énergie, et une nature qui a elle aussi
besoin d’eau pour alimenter des écosystèmes déjà fragilisés et fournir les
services écosystémiques dont nous dépendons. Chaque jour, nous déversons des
millions de tonnes d’eaux usées non traitées et de déchets industriels et
agricoles dans les bassins hydrographiques de la planète. Les eaux non polluées
sont devenues rares et le seront encore plus sous l’effet des changements
climatiques.
Et ce sont les
pauvres qui souffrent le plus de la pollution, des pénuries d’eau et du manque
d’installations d’assainissement adéquates.
Le thème retenu
cette année pour la Journée internationale de l’eau est « De l’eau propre pour
un monde sain ». Il entend attirer l’attention sur le fait que ce sont à la
fois la qualité et la quantité des ressources en eau qui sont menacées. L’eau
insalubre tue plus d’être humains que toutes les formes de violence, y compris
la guerre. Leur disparition précoce interpelle notre conscience et compromet
les efforts déployés par de nombreux pays pour réaliser leur potentiel de
développement.
Le monde a le
savoir-faire nécessaire pour relever ces déis et mieux gérer nos ressources en eau. L’eau est
indispensable à la réalisation de tous nos objectifs de développement. Alors
que nous arrivons à mi-parcours de la Décennie internationale d’action et que
nous préparons pour cette année une réunion au sommet sur les objectifs du
Millénaire pour le développement, engageons-nous à protéger et gérer
durablement les eaux de la planète pour les pauvres, pour les populations
vulnérables et pour toutes les formes de vie sur Terre.
COMMENTAIRES : Jacquie: Thank you
for this interesting post. Unfortunately I think the next proverb might
be "Water water everywhere, and not a drop to drink."
Mise à jour du 20 mars: les Bleus restent invaincus face aux maillots blancs.
La France, indomptable, remporte la coupe du Tournoi des Six Nations.
Source: news.bbc.co.uk
Quelques mots de réconfort pour l'équipe d'Angleterre:
For when that One Great Scorer comes to mark against your name
He writes not that you won or lost but how you played the game.
(Grantland Rice: 1880 – 1954)
Rugby,cinéma, politique et poésie
Invictus
I am the master of my fate
I am the captain of my soul
William Ernest Henley
Invictus
Invictus est un poème de l'écrivain William Ernest Henley qui fut cité à de très nombreuses reprises dans la culture populaire et qui contribua à le rendre célèbre. Il est notamment repris dans le film Invictus qui retrace le rôle que Nelson Mandela, en tant que premier président noir de l’Afrique du Sud, a eu dans la Coupe du monde de rugby en 1995. Le poème avait inspiré Mandela à tel point qu’il l’avait aidé à surmonter ses longues années en prison et a aidé l’équipe sud-africaine à rester invaincue en remportant la Coupe du monde de rugby cette année-là. Tel est le thème du film Invictus.
Le titre latin signifie « invaincu, dont on ne triomphe pas, invincible »[et se fonde sur la propre expérience de l'auteur puisque ce poème fut écrit en 1875 sur son lit d'hôpital, suite à son amputation du pied. À l’origine, ce poème ne possédait pas de titre, mais celui-ci fut ajouté plus tard par le critique littéraire anglais, Sir Arthur Quiller-Couch.
William Henley disait lui-même que ce poème était une démonstration de la résistance à la douleur dont il a fait preuve à la suite de son amputation.
Anglais]
Traduction libre
Out of the night that covers me, Black as the pit from pole to pole, I thank whatever gods may be For my unconquerable soul.
In the fell clutch of circumstance I have not winced nor cried aloud. Under the bludgeonings of chance My head is bloody, but unbowed.
Beyond this place of wrath and tears Looms but the Horror of the shade, And yet the menace of the years Finds and shall find me unafraid.
It matters not how strait the gate, How charged with punishments the scroll, I am the master of my fate: I am the captain of my soul.
Depuis l'obscurité qui m'envahit, Noire comme le royaume de l'enfer, Je remercie les dieux quels qu'ils soient Pour mon âme indomptable.
Dans l'étreinte féroce des circonstances, Je n'ai ni bronché ni pleuré Sous les coups de l'adversité. Mon esprit est ensanglanté mais inflexible.
Au-delà de ce monde de colère et de larmes, Ne se profile que l'horreur de la nuit. Et pourtant face à la grande menace Je me trouve et je reste sans peur.
Peu importe combien le voyage sera dur, Et combien la liste des châtiments sera lourde, Je suis le maître de mon destin, Je suis le capitaine de mon âme.
Ces deux dernières lignes retentissantes sont fortement entrées dans le langage littéraire anglais.
Voici un vidéo clip réalisé à l’occasion du Tournoi des Six Nations mettant en scène Morgan Freeman (qui a incarné Nelson Mandela dans le film Invictus) en train de lire le fameux poème d’Henley.
Célébrations Qu’ils vivent en Irlande, soient expatriés ou descendants d’immigrants, la
Saint Patrick est célébrée par les Irlandais partout dans le monde, mais
également par les non-Irlandais, qui voient en cette fête populaire l’occasion
d’être Irlandais le temps d’une journée. La couleur verte est généralement
associée à la Saint Patrick, de même que tout ce qui relève de la culture
irlandaise : de nos jours, assister à la Saint Patrick veut dire porter
des vêtements verts, assister à des parades, manger des plats irlandais et
boire des boissons irlandaises souvent alcoolisées telles que la bière et le stout
(comme la Guinness), le whiskey, le cidre ou encore l’Irish coffee, le tout que
vous soyez Chrétien ou pas.
A Dublin La parade de Dublin est un festival qui s’étend sur cinq jours. En 2006,
plus de 500 000 personnes y ont assisté.
A New York, San Francisco et Chicago Avec ses deux millions de spectateurs réunis sur la Cinquième Avenue, New
York est la ville qui accueille la plus grande parade pour la Saint Patrick.
Elle a lieu devant le sanctuaire construit au XIXème siècle en l’honneur de
Saint Patrick. La Saint Patrick fût célébrée à New York pour la première fois
en 1762 alors que les soldats irlandais défilèrent dans la ville le 17 mars. De
son côté, la colonie irlandaise de San Francisco prépare un grand défilé dans
les rues pour fêter la Saint Patrick et brandit une statue de l’évêque
évangélisateur de l’Irlande sur un char décoré aux couleurs nationales.
À Chicago, le jour de la Saint-Patrick, la rivière Chicago est teinte en vert.
Une fête chrétienne La Saint Patrick est célébrée le 17 mars de chaque année. En plus d’être
une fête culturelle irlandaise, la Saint Patrick est d’abord une fête chrétienne
que célèbrent l’Eglise catholique, l’Eglise d’Irlande ainsi que d’autres
communautés chrétiennes.
La Saint Patrick se tient toujours durant le Carême. Dans
les calendriers chrétiens, on la repousse au lundi quand elle tombe un
dimanche. La coutume veut que certains chrétiens faisant un jeûne à l’occasion
du Carême le rompent le jour de la Saint Patrick. On raconte que Patrick aurait
utilisé un trèfle pour expliquer au peuple le concept de la Sainte Trinité. Le
trèfle est maintenant l’emblème du pays et tous les ans, les Irlandais en
attachent un à leur boutonnière en l’honneur de Saint Patrick.
L’humour
à l’irlandaise
On attribue aux Irlandais
un sens de l’humour particulier que l’on retrouve dans les œuvres de l’auteur
dramatique Brendan Behan, décédé en 1964. Voici quelques uns de ses
dictons :
Les Irlandais sont un peuple très populaire…entre eux.
Je n’ai aucun respect pour tout ce qui a rapport avec la société à
l’exception de ce qui rend les routes plus sûres, la bière plus forte, la
nourriture moins chère et les vieillards ainsi que les vieilles femmes
plus chauds l’hiver et plus heureux l’été.
Avoir assez à manger était considéré comme une réussite. Être saoul comme une victoire.
Les critiques sont comme les eunuques dans un harem : ils savent
comment on le fait, ils l’ont vu faire chaque jour, mais ils sont
incapables de le faire eux-mêmes.
Il y a de nombreuses définitions de l’enfer, mais pour les Anglais, la
meilleure définition est que c’est l’endroit où les Allemands font la police,
les Suédois sont les comiques, les Italiens assurent la défense du territoire,
les Français creusent les routes, les Belges sont des chanteurs pop, les
Espagnols assurent le trafic ferroviaire, les Turques cuisinent la nourriture,
les Irlandais la servent, les Grecs sont
au pouvoir et la langue parlée est le Néerlandais. Source:
Gerry Coughlan, http://www.irishslang.co.za/
Aspect linguistique : l’influence du
français
Gassin, gorsoon,
gosson or gossoor sont des mots employés dans
les quartiers ruraux pour désigner un enfant. Ils
viennent du français « garçon »,qui fût introduit par les colons
normands du XIIème siècle (en irlandais garsún,(dialecte de Munster) et gasúr
(dialecte de Connacht et de l’Ulster).(Source:
Wikipedia)
Dans de nombreuses régions d’Irlande, on appelle
encore une tranche de pain sliced pan, d’après le français pain, de même que dans la Péninsule de
Beara, les personnes âgées appellent une chemise à manches longues shemmy shirt, d’après le français chemise.(Source: Wikipedia)
Les exemples ci-dessus tirent leur origine
des envahisseurs normands qui commencèrent à s’installer en Irlande en 1167.
La version 1.1.5 du Correcteur terminologique
pour OpenOffice.org est disponible.
Le correcteur terminologique pour OpenOffice.org
utilise les données de la base FranceTerme. Il propose le remplacement
de termes étrangers par des termes français recommandés officiellement. Par
exemple, le correcteur propose de remplacer e-mail par courriel, database
par base de données, etc.
L'usage des termes recommandés par le dispositif d'enrichissement de la langue
française est obligatoire dans les écrits « qui émanent des services et
des établissements publics de l'État » (décret du 3 juillet 1996, art.11)
et « dans les cas prévus aux articles 5 et 14 de la loi du 4 août
1994 » (contrats et marques de fabrique liés à l'exécution de missions de
service public).
Le correcteur terminologique est téléchargeable depuis le site officiel des
extensions d'OpenOffice.org. Un mode d'emploi est également mis à la
disposition des internautes.
Important :
La version 1.1.5 du correcteur
terminologique est compatible avec la version 3.2 d'OpenOffice.org, tout
en restant compatible avec les versions 2.3 et plus.
Pour bénéficier
des mises à jour, pensez à vous rendre régulièrement sur le site des
extensions d'OpenOffice.org.
French novelist Jean-Marie Gustave Le Clezio awarded 2008 Nobel Prize for
Literature.
The 68-year-old has been honoured with the 10m
kronor (£820,810) award for his distinguished life's work. The Swedish Academy describes him as "an
author of new departures, poetic adventure and sensual ecstasy." It goes on to call him "an explorer of a
humanity beyond and below the reigning civilisation." Le Clezio's breakthrough as a novelist came in
1980 with Desert, a work the Swedish academy praised for its "magnificent
images of a lost culture in the North African desert."
Philosopher
His
most recent works include 2007's Ballaciner, a work the academy called a
"deeply personal essay about the history of the art of film". The
author has also included several books for children, among them Lullaby in 1980
and Balaabilou in 1985. He has won a
number of literary honours in his native France, among them the Prix Larbaud in
1972 and the Grand Prix Jean Giono in 1997. Born in Nice in 1940, Le Clezio spent two
years as a child in Nigeria and has taught in universities in Bangkok, Boston
and Mexico City. An avid traveler,
French novelist and essayist Le Clézio has written more than 40 books about
exile and self-discovery, and the clash between modern civilization and
traditional cultures. In announcing the prize, the Swedish Academy called Le
Clézio an author of new departures, poetic adventure and sensual ecstasy,
explorer of a humanity beyond and below the reigning civilization. He is joined
in conversation by The New Yorkers Adam Gopnik.
Conversation with Adam
Gopnik
Source: The PEN, A World Association of
Writers. www.pen.org
On his first major U.S. appearance since being awarded the 2008 Nobel for
Literature, Jean-Marie Gustave Le Clézio is joined in conversation by The New
Yorker's Adam Gopnik.
Americans may be diet-obsessed, but
we’ve got nothing on French women. When American Vogue publishes a
weight loss article, you won’t hear the end of it for months. But in France,
pick up any popular women’s fashion magazine, and you’ll find there’s at least
one diet-focused feature without fail. Oftentimes, these publications don’t
even try to attempt fake-holistic attitudes towards health. Take, for example,
French Elle‘s review of the ridiculous Forking Diet,
where you can only consume foods meant to be eaten with a fork.
Plus, there’s a
sidebar that has to be a joke—a recipe for soup à l’eau or water soup.
Ingredients? Water, salt. The benefits, explains Grazia, is that it’s
full of minerals, quenches your thirst, and saves you money. Eat a bowl of
water soup each evening, and you can “lose four dress sizes before the summer.”
[Grazia France]
« La Dernière Heure » sort entièrement
en 3D pour un jour
Le quotidien « La
Dernière Heure » a diffusé une
édition totalement en trois dimensions à ses lecteurs mardi dernier. "Il
s'agit d'une première en Belgique, peut-être même en Europe", indiquait
lundi le rédacteur en chef, Hubert Leclercq.
Concrètement,
cela signifie que toutes les photos du journal sont parues en 3D et qu’on a
fourni aux lecteurs une paire de
lunettes spéciales. "L'édition a été publiée sur du papier de meilleure
qualité, plus blanc, assurant un meilleur effet", précise Hubert
Leclercq. Et même les annonceurs ont accepté de jouer le jeu. "L'idée
nous est venue la toute première fois lorsque nous avons sorti notre premier
numéro en format compact, le 18 novembre 2008", explique le rédacteur
en chef. "Ce jour-là, Het Belang van Limburg et Gazet van Antwerpen ont
proposé, dans leur édition du jour, des reproductions d'œuvres de peintres
flamands en 3D. L'initiative m'a plu mais, personnellement, je l'envisageais
plutôt à l'échelle de toute l'actualité du journal", dit encore Hubert
Leclercq.
Broadcasting first with 3D rugby: BBC engineers have broadcast an entire
international sporting event live in 3D for the first time in the UK.
Scotland's
defeat of England in the Six Nations rugby union championship was relayed to a
London cinema audience. The project was carried out with production group, the
3D Firm.
BBC News
website video journalists Andrew Webb (Edinburgh) and John Galliver (London) were at both ends of the transmission.
Les commentaires récents
la biographe du poète Siegfried Sassoon :
The green, green grass of home