« Waterloo, Waterloo, morne plaine » (Victor Hugo)
Telegraph.co.uk
« Un nouveau chef d’état-major ; une occasion offensive manquée ; une charge de cavalerie inopinée et inopportune ; un déluge apocalyptique qui, amollissant désastreusement les sols, anéantit les effets du canon colossal de l’empereur ; une myriade de décisions précipitées basées sur des informations insuffisantes : tout cela permit aux armées de Wellington d’arracher la victoire au commandement français. Au-delà des explications purement humaines de la bévue qui coûta son trône à Napoléon, Roberts développe ses enjeux politiques, stratégiques et historiques et montre ainsi pourquoi Waterloo marque un tournant de notre histoire.
"La génération qui suivit Waterloo vit la naissance de la guerre moderne : les batailles à venir se disputeraient avec des moyens infiniment plus effroyables entre des blocs de pouvoir mouvants. Venu le temps de la grande guerre la chevalerie était morte. L’honneur d’uniformes chatoyants, le sens palpable d’élan, d’audace et d’éclat et la qualité esthétique – initiale du moins – de la bataille firent leur dernier tour de danse à Waterloo. »
- Traduction par Dussert de la critique de Amanda Foreman du livre Waterloo,
de la plume de Andrew Roberts
, http://www.amanda-foreman.com/waterloo.html
Voir aussi:
Battle of Waterloo : http://en.wikipedia.org/wiki/Battle_of_Waterloo
Bataille de Waterloo: http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Waterloo
Videoclip: The Battle of Waterloo - Charge of the British Heavy Cavalry
Linguistic Note:
The English expression “to meet your Waterloo” means to arrive at a final decisive contest.
The origin of this phrase is the 1815 battle outside the Belgian town of Waterloo in which Napoleon Bonaparte was finally defeated by forces commanded by the Duke of Wellington. The term Waterloo quickly became synonymous with anything difficult to master.
Arthur Conan Doyle, was the first to refer to someone meeting their Waterloo, in Return of Sherlock Holmes, 1905:
"We have not yet met our Waterloo, Watson, but this is our Marengo." (This refers to the Battle of Marengo in Italy, in which Napoleon’s forces were surprised by an Austrian attack and came close to defeat.)
That expression was used with a sexual connotation by Jacque Brel (appropriately, a Belgian) in his song, Au Suivant:
Post Scriptum:
France's revenge - the Fall of the Duke of Wellington 2010
Jonathan Goldberg
That was a really interesting article Jonathan. I had never heard that song by the great Jacques Brel (with its flawed English translation! ) and the end of your article (la chute) was really funny!
Jacquie
Rédigé par : Jacquie Bridonneau | 17/06/2010 à 12:36