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28/07/2017

Commentaires

John Woodsworth

Je remercie "Le Mot juste" de cet interview fascinante. Je suis complètement d'accord avec la première phrase de l'auteur, que le traducteur doit être surtout un écrivain. Cette règle s'applique especialement à la traduction de la poésie. Et je suis d'accord que les mots mêmes ne sont pas la chose la plus importante dans la traduction. À mon avis, ce n'est pas seulement les paragraphes, mais le contexte cognitif et culturel du texte original. C'est comme le musicien qui transpose sur son instrument beaucoup plus que les notes, mais tout l'esprit, tout l'âme, de l'expression unique du compositeur. Je crois que M. Fachler est aussi de cet avis. Mais ce n'est pas toujours nécessaire de se rencontrer physiquement avec l'auteur; pour la plupart de mes traductions littéraires il était même impossible, à cause de l'histoire (par exemple, l'auteur est Tolstoï, qui est mort en 1910) ou de la géographie (p.ex. l'auteur est en Sibérie et le traducteur au Canada).

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