« Une seule victime, c’est déjà une de trop », c’est la demande d’une résolution des Nations unis pour protéger les traducteurs et interprètes civils en situation de conflit, portée par les organisations internationales Red-T, AIIC (Association internationale des interprètes de conférence), FIT-IFT (Fédération internationale des traducteurs) Critical Link International et WASLI (Association mondiale des interprètes en langue des signes).
Le CEATL, représenté par sa présidente Francesca Novajra, a cosigné cette lettre ouverte adressée à M. Alain Berset, président de la Confédération helvétique, pour demander une telle résolution, dont on peut lire ici le texte en anglais et en français.
Une pétition réclamant cette résolution se trouve aussi sur le site de Red-T : vous pouvez la signer ici, et la partager largement !
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